Ma tres chere Soeur.
[… ]je ne sai en verité ou Vous Vous trouvéz actuellement[,] ma Chere soeur[,] mais je ne Vous crois pas elloigné D’avignon, je suis toujours de L’opinion que vous
            finirai votre Voyage par Marseille ou L’air est ausi bon qu’a monpeillér et ou le
            sejour est infiniment plus agréable. notre Saisson rude se met aux pieds de Votre
            beau Climat, et je Vous prie de ne point oublyér[,] vers Les Contrées du frimat[,] un frere qui est avec toute la tendresse posible[,]